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Dates des marchés de Noël
La date de tenue des marchés de Noël varie selon les localités qui les organisent. L’ouverture des grands marchés de Noël coïncide généralement avec le week-end du premier dimanche de l’Avent.
- entre dimanche 23 novembre et mardi 23 décembre 2025
- entre dimanche 22 novembre et mercredi 23 décembre 2026
- entre dimanche 21 novembre et jeudi 23 décembre 2027
La plupart des marchés ferment le 23 décembre, mais certains perdurent jusqu’à début janvier.
Le marché de Noël français le plus ancien est celui de Strasbourg. Il se tiendra aux dates suivantes, dans différents lieux de la ville :
- du mercredi 26 novembre au mercredi 24 décembre 2025
- du vendredi 27 novembre au vendredi 25 décembre 2026 (estimée)
- du vendredi 26 novembre au dimanche 26 décembre 2027 (estimée)
Les marchés de Noël de Colmar attirent aussi un public considérable, ils seront installés sur les dates suivantes:
- du mardi 25 novembre au lundi 29 décembre 2025
- du jeudi 26 novembre au mardi 29 décembre 2026 (estimée)
- du vendredi 26 novembre au mercredi 29 décembre 2027 (estimée)
Contexte
Les marchés de Noël sont des marchés extérieurs temporaires liés à la célébration de la fête de Noël. Ils s’inscrivent dans une période traditionnelle organisée autour d’un arc1 qui englobe l’Avent, la Saint-Nicolas (6 décembre), la veille de Noël, Noël, la Saint-Étienne (26 décembre) et l’Épiphanie (6 janvier).
En allemand, les marchés de Noël (Weihnachtsmarkt) portent plusieurs noms :
- marché de l’Avent (Advent(s)markt),
- marché de l’Enfant Jésus (Christkindlmarkt, Christkindlesmarkt),
- marché Saint-Nicolas (Nikolausmarkt),
- marché de la Nativité (Krippenmarkt).
Les origines
Marché hivernal sans dimension religieuse
L’origine exacte des marchés de Noël n’est pas formellement arrêtée. Les premières traces remontent au XIIIe siècle dans le Saint-Empire romain germanique. Il s’agit de marchés hivernaux spéciaux de plein air (Wintermärkte) permettant aux populations de s’approvisionner et de faire des réserves au cours de l’hiver. S’y vendaient essentiellement des poteries, de la viande, des aliments cuits et des friandises. Le lien direct entre ces marchés hivernaux et les célébrations de Noël, attestées depuis le pape Libère en 354 à Rome2, n’est pas avéré.
Qui détient le record du premier marché de Noël ?
La tenue d’un marché à la période de Noël à Vienne (Autriche) est attestée historiquement dès 12943. Toutefois, bien que se déroulant pendant l’Avent, ce marché hivernal n’est pas spécifiquement associé à Noël4 et correspond à la foire annuelle qui s’étend 14 jours avant et 14 jours après la Sainte-Catherine (le 25 novembre)5.
Un litige d’interprétation identique se présente pour le marché de Bautzen en Saxe (Allemagne) de 13846, détenteur du titre de plus ancien marché de Noël allemand mentionné dans une chronique7.
Les plus vieux marchés de Noël toujours actifs, dont le lien avec Noël est indiscutable, sont ceux de Dresde (Allemagne) depuis 14348 (le Striezelmarkt), de Strasbourg depuis 1570 et de Nuremberg (Allemagne) depuis 16289 (le Christkindlesmarkt).
Le prochain marché de Noël de Dresde se tiendra aux dates suivantes :
du mercredi 26 novembre au mercredi 24 décembre 2025
Celui de Nuremberg, aux dates suivantes :
du vendredi 28 novembre au mercredi 24 décembre 2025
Au fil du temps, l’offre des marchés d’hiver s’adapte aux usages. Y sont proposés des aliments (pains d’épices, amandes, noix, châtaignes grillées, pâtisseries) et cadeaux (jouets, sculptures sur bois) traditionnellement échangés à l’occasion de Noël, du jour de l’An ainsi que de la Saint-Nicolas, fête très appréciée des enfants. Les marchés se tiennent généralement à proximité des églises, au plus près des fidèles.
La figure de saint Nicolas

À partir du XIe siècle se développe dans l’Église catholique le culte autour de la figure de saint Nicolas. Cet ancien archevêque de Myre (Asie Mineure), décédé en 343, est entre autres le saint protecteur des enfants. À l’occasion de sa fête, le 6 décembre, il dépose des présents dans les souliers des enfants particulièrement sages. À leur réveil, les enfants découvrent des Schnakalas (petites brioches en forme de crosse rappelant celle de saint Nicolas), des Maennele (brioches en forme de bonhomme) et autres fruits et sucreries.
Reconnaissable à sa mitre et sa crosse, saint Nicolas accomplit sa mission la nuit, à dos d’âne ou de cheval. Il est accompagné par Hans Trapp (nommé aussi Rüpelz ou le Père Fouettard selon les régions). Ce personnage terrifiant, barbu et vêtu de noir, est chargé d’effrayer les enfants moins dociles. Par la suite, Saint-Nicolas a donné naissance à Santa Claus… c’est-à-dire le père Noël.
Pour plus de détails, lire notre page.
Un succès générateur de tensions
Les marchés de Noël allemands connaissent leur apogée dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. L’événement attire la population urbaine ainsi que les habitants des campagnes alentour. Toutes les couches de la société arpentent de concert les allées de ces marchés réglementés10. En 1805, Berlin dénombrait 300 stands montés et démontés chaque jour. En 1840, leur nombre avait doublé11.

La fréquentation croissante des marchés de Noël en modifie la morphologie. La présence de vendeurs illégaux, mendiants ou invalides de guerre irrite certains usagers et commerçants. Des attractions, manèges et autres jeux de hasard font aussi leur apparition, au grand désarroi d’une partie de la population en quête d’un événement plus calme et authentique12.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la concurrence entre les marchés de Noël temporaires et les grands magasins émergents s’intensifie. Les propriétaires de ces derniers jouent de leur influence afin de chasser leurs rivaux des centres-villes. Ils obtiennent satisfaction. À Berlin, les marchés de Noël sont relégués en périphérie dans des zones moins attractives ou sont transformés en vente itinérante, assurée principalement par des enfants13.
Standardisation avec les nazis
Au sortir de la Première Guerre mondiale, les marchés de Noël sont en déclin. La vente de cadeaux et de jouets se fait majoritairement dans les grands magasins du centre-ville.
Les marchés de Noël connaissent un second souffle dans les années 1930 sous l’impulsion du parti nazi (NSDAP). Sous le Troisième Reich, le parti nazi se réapproprie les coutumes de Noël afin d’en faire une fête nationaliste. Les connotations chrétiennes sont effacées au profit de la mise en avant d’un héritage allemand, et les marchés de Noël en constituent un levier. Ils regagnent alors les centres-villes.
En 1933, Willy Liebel, maire de Nuremberg et membre du NSDAP, rétablit le marché de Noël chassé de la place centrale en 189814. Il uniformise l’apparence des stands couverts15. Un contrôle drastique des produits mis en vente est instauré. Ne sont acceptés que des objets et aliments ayant un lien avec Noël et étant produits en Allemagne (objets de décoration, crèches, poupées et jouets, livres d’images, objets artisanaux et d’art, pains d’épices, bonhommes en pruneaux et confiseries). Les vendeurs d’arbres de Noël et les relieurs de couronnes de l’Avent16 sont acceptés. Une nouvelle offre alimentaire (stands de saucisses — « bratwursts » — et rôtisseries de harengs) fait son apparition.
Divers rendez-vous ponctuent la manifestation : une cérémonie d’ouverture officielle17 et des interprétations collectives de chants nationalistes ou de Noël comme « Douce nuit » dont les paroles sont modifiées18. Les marchés de Noël deviennent un espace de réunion et de cohésion collective.
Le concept essaime
Grâce aux décorations et aux éclairages leur conférant une ambiance spécifique, les marchés de Noël constituent une expérience à part entière. Au cours des années 1960-1970, la formule est dupliquée et séduit. Le marché de Noël devient un phénomène de masse. De nombreuses villes (même allemandes) créent leur marché et étendent la période d’ouverture au vendredi précédant le premier dimanche de l’Avent.

Déjà présent historiquement dans certaines régions frontalières (Tyrol en Italie, Suisse et Alsace en France), le marché de Noël s’exporte à l’international dans les années 1990. Il conquiert le Royaume-Uni, les États-Unis, la Russie, la Pologne, le Japon, le Mexique et l’Inde. En Thaïlande, il ne se tient pas en extérieur, mais au sein des centres commerciaux19.
Au début des années 2020, l’Allemagne compte chaque année près de 3 000 marchés de Noël, toutes tailles confondues20. Cette tradition constitue un levier touristique considérable, principalement pour les marchés des grands centres-villes historiques (Aix-la-Chapelle, Cologne, Düsseldorf, Francfort, Mayence, Munich, Münster, Nuremberg, Rothenburg et Würzburg), qui sont les plus prisés par les visiteurs.
Le marché de Noël de Strasbourg
Le marché de Noël français le plus ancien est celui de Strasbourg. Connu sous le nom de marché de l’Enfant-Jésus (Christkindelsmärik en dialecte alsacien, équivalent du Christkindelsmarkt allemand), il est mentionné pour la première fois dans l’ordre du jour du 4 décembre 1570 du Conseil des XXI21, une des trois instances à la tête de la ville.

Des marchés de la Saint-Nicolas (« Klausenmärik », marché de « Klaus ») semblent avoir existé en Alsace dès la fin du XIIe-début du XIIIe siècle22, mais la Réforme en modifie les contours. Haut lieu du mouvement, Strasbourg devient protestante dès 1529. En 1569, Johann Flinner, pasteur de la cathédrale, s’oppose fermement au principe d’adoration des saints. Le culte envers la figure de saint Nicolas ne fait pas exception.

Pour concilier les intérêts religieux et économiques, un compromis est trouvé. Le traditionnel marché de la Saint-Nicolas change de nom et se mue en marché de l’Enfant-Jésus (Christkindelsmärik) en 1570. C’est désormais à l’Enfant Jésus (Christkindel) qu’il incombe de distribuer des présents aux enfants à Noël. Ce changement s’accompagne d’un glissement de date. Rattaché à la Nativité, le marché se tient les trois jours avant Noël.
Au fil du temps, le marché de Noël de Strasbourg gagne en ampleur et acquiert le surnom de foire de Bimbeloterie23. S’y côtoient des marchands disposant de grandes baraques décorées et des vendeurs très modestes. Sa durée s’étend aux six jours précédant Noël (1806), puis aux sept jours (1863)24. Il est suivi d’une grande foire commerciale de 18 jours, qui débute le 26 décembre. Les deux événements fusionnent dans la seconde moitié du XIXe siècle.
« La foire du Christkindelsmarkt semble cette année plus brillante et plus courue que les années précédentes. Les jouets d’enfants, les poupées, les friandises et les arbres de Noël attirent une foule énorme d’acheteurs. Dimanche on ne circulait qu’avec peine à travers les rangées de boutiques, et aborder celles-ci était bien plus difficile encore. Les autres magasins de jouets d’enfants rivalisent aussi entre eux par la beauté et la variété de leurs étalages ; la maison Kusian, sous les Arcades, se distingue au premier rang : elle expose des objets, pour enfants, tout à fait remarquables ; régiments de soldats, ménagères, étables, basses-cours, attelages, bêtes féroces, poupées de toutes les tailles, bateaux et navires de guerre, tout cela est charmant et touche de près à la production artistique. Aussi que de monde à la devanture ! Le bazar-passage du Temple-Neuf est encombré, lui aussi, de curieux et d’acheteurs attirés par le bon marché et le grand choix qui se rencontrent dans ce caravansérail de toutes les industries possibles. Dimanche les campagnards donnaient dans cet étroit bazar, et vers 4 heures on ne pouvait plus y entrer ni en sortir. »
« On nous écrit… Strasbourg, 22 décembre, L’industriel alsacien : Journal quotidien de Mulhouse, du 24 décembre 1875
« Depuis que cette foire existe, c’est-à-dire de temps immémorial, l’affluence des visiteurs de la campagne allait en augmentant, d’un dimanche à l’autre ; et comme chacun — ou chacune — de ces braves campagnards s’en retourne chez soi avec un nombre phénoménal de paquets, — nombre qui va également crescendo — les bons Strasbourgeois, gens pratiques s’il en fut, ont désigné ces trois dimanches sous les dénominations de « dimanche de bronze, dimanche d’argent et dimanche d’or ». Malheureusement pour les « foireux », la concurrence des grands magasins de la ville, qui offrent, à des prix dérisoires, une cameloterie en tous genres et en des milliers d’exemplaires variés, est depuis quelques années, la ruine la plus systématique de cette foire, une des plus belles traditions d’Alsace. Le coup d’œil du Christkindelsmärkt, aujourd'hui, avec ses boutiques de toile blanche qui disparaissent dans une épaisse forêt de sapins de Noël, est féerique, surtout vers le soir, quand les derniers remous de la foule s’écoulent, comme un torrent humain, à l’assaut des tramways, sous l’éclatante lumière des becs électriques et sous le scintillement des centaines d’ampoules aux reflets rouges, verts, jaunes ou bleus, dont sont piqués, comme d’étoiles, les milliers de sapins, de toute grandeur et de tout prix, qui attendent les acheteurs. Demain et mardi seront les deux grandes journées des « sapiniers ». »
Noël ! Noël ! Le Courrier de Metz, 24 décembre 1912


Le marché de Noël de Strasbourg connaît un nouvel élan dans les années 1990. La ville s’inspire de la formule gagnante du marché de Nuremberg et lance une vaste campagne touristique. En 1992, le slogan « Strasbourg, capitale de Noël » est adopté et déposé. Le succès est au rendez-vous. D’autres villes de la région lui emboîtent le pas (Mulhouse, Obernai, Guebwiller, Colmar)25. En 1990, l’Alsace ne comptait plus que huit marchés de Noël. En 2017, ils étaient plus d’une centaine26.
Au bonheur des enfants
Les premiers marchés de Noël proposaient des marchandises directement liées à la préparation de la fête : cire pour les bougies, épices pour assaisonner les mets ou cuisiner les gâteaux spécifiques (pain d’épices, gâteaux de Noël), fruits séchés ou en conserve. Étaient aussi présents de menus objets en bois sculptés.
À partir du XVIe siècle s’ajoutent les décorations du sapin de Noël. L’offre s’étoffe avec des poupées, fourrures et bonbons.
Au XIXe siècle, les poupées et figurines occupent une place grandissante sur les étals, au point que certains marchés sont considérés comme d’immenses foires aux jouets (« Spielzeugmessen »).

« Là [au Christkindelmarkt] viennent s’étaler tous les produits de l’industrie bimbelotière : les pièces en étain et en plomb, coulées dans des moules, colorées et vernies, dont on compose les petits ustensiles de cuisine et les soldats à pied et à cheval ; les jouets en bois sous forme de meubles, de sabres, de fusils, de grands chevaux qui galopent sans bouger ; les joujoux en carton figurant des oiseaux, des chiens, des chats, qui chantent, aboient et miaulent sous la pression des doigts ; et des poupées ! ! il y en a de toutes les grandeurs et pour toutes les bourses, depuis le petit squelette en bois jusqu’à la poupée grande dame couverte de velours et de dentelles, avec une tête en porcelaine, des yeux en émail et des cheveux ; puis, tous les instruments tapageurs qui font la désolation des locataires paisibles : trompettes, tambours, accordéons, flageolets, mirlitons ! et les canons en bois, les chariots, les équipages, les cerceaux, les toupies, les quilles, les balles, la poterie avec ses tasses, ses assiettes et ses plats en miniature : tous ces articles enfin que l’industrie a imités des joujoux de Nuremberg. »
Le Christkindel et Hans Trapp, L’Écho du Nord, du 25 décembre 1881
Un environnement festif
Chalets, vin chaud, illuminations et jouets en bois… À travers le monde, tous les marchés de Noël se ressemblent, mais aucun n’est jamais identique ! L’ambiance varie grandement d’un marché à l’autre, même au sein d’une ville.
Références
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, « The Changing Face of German Christmas Markets: Historic, Mercantile, Social, and Experiential Dimensions », 2021, Heritage, 4, no. 3, 1821–1835.
Alexandra Monot, « Les marchés de Noël en Alsace. De l’extraordinaire à l’ordinaire du tourisme événementiel », Bulletin de l’association de géographes français, 95-4 | 2018, 528-543.
Alexandra Monot, art. cit.
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, op. cit.
L’histoire du marché de Noël de Vienne, wien.gv.at, archives du web du 27 février 2014
Il s’agit en l’occurrence d’un marché de viande gratuit dont la mise en place a été soumise à l’accord du roi Venceslas IV.
« Le plus ancien marché de Noël d’Allemagne à Bautzen », Rekord Institut fûr Deutschland (RID), publié le 10 décembre 2016
Le marché de Noël de Dresde est reconnu par l’Institut allemand des records (RID) comme le plus ancien marché de Noël d'Allemagne confirmé par un document. Pour plus de détails sur son histoire, consulter : Histoire et tradition du Dresdner Striezelmarkt.
Pour plus de détails sur l’histoire du marché de Noël de Nuremberg, voir : Histoire du marché de Noël, archives du web du 16 octobre 2013.
La réglementation concerne la durée et la localisation des marchés ainsi que l’accueil, ou non, de commerçants extérieurs à la ville.
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, op. cit.
Joe Perry, Christmas in Germany : a cultural history, Chapel Hill : University of North Carolina Press, 2014
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker op. cit.
Joe Perry, op. cit.
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, op. cit.
Une couronne de l’Avent (« Adventkränz ») accompagne traditionnellement la période jusqu’à Noël. Elle est souvent composée de branchages, bâtons, pommes de pins et, a minima, de quatre bougies. Il est d’usage d’en allumer une chaque dimanche de l’Avent.
Joe Perry, op. cit.
Nepomuk Riva, « Un Noël blanc : espaces sonores européanisés sur les marchés de Noël berlinois », p. 264-277, in Denis Laborde, Haizebegi#10 - Le Livre, Haizebegi, Association Haizebegi, 11, 2023
Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, op. cit.
Ce nombre englobe les petits marchés locaux mis en place le temps d’un week-end jusqu’aux grands marchés qui se tiennent de fin novembre à la veille de Noël. In Dirk H.R Spennemann et Murray Parker, op. cit.
Archives de Strasbourg (source : AVES, 1 R 36 361) https://www.facebook.com/story.php?story_fbid=885375857057318&id=100067547341237&_rdr
Alexandra Monot, op. cit.
« Foires d’hiver réunies : arrêté », publié dans le Niederrheinischer Kurier du 25 octobre 1859.
Exposition en ligne « Fêtes de fin d’année, fins d’années en fête », Archives de Strasbourg
Citons : « les Etoffééries de Mulhouse », « Rêvez Noël à Obernai », « Noël bleu à Guebwiller », « la magie de Noël en Alsace à Colmar », in Alexandra Monot, op. cit.
Alexandra Monot, op. cit.
Lire aussi
Philippe Wendling, La merveilleuse histoire des marchés de Noël d’Alsace : plus de quatre siècles de festivités et de traditions, Strasbourg, 2014, Éd. Vents d’Est, 169 p.
Clement A. Miles, Christmas in Ritual and Tradition, Christian and Pagan, London, 1912, Boston College Libraries, T.F. Unwin, 440 p.